Cinq questions brulantes
Un an après sa première victoire sur l’European Tour au Alfred Dunhill Links, le joueur anglais à la progression fulgurante revient sur son ascension dans le classement mondial, évoque les avantages des Rolex Series et explique pourquoi il est favorable à la politique de Keith Pelley.
Il y a un peu plus d’un an vous étiez classé 121ème mondial. Aujourd’hui, vous tapez à la porte du Top 20. Quel a été le déclic pour vous ?
C’est difficile à dire précisément. Je pense que le grand tournant remonte à l’Open d’Écosse l’année dernière, où j’avais mon père à mes côtés pour me coacher. Il est venu sur ce tournoi et nous avons bien travaillé en début de semaine, et je me suis mis à très bien swinguer le club. J’ai gagné en assurance et finalement j’ai terminé à la 2ème place cette semaine-là, ce qui m’a qualifié pour le British Open, et ça a été le début d’une très bonne série pour moi. J’ai simplement réussi à rester sur …